Baiser, bise, bisou, mimi, bécot, câlin, palot, smack, galoche, pelle, bec, mimi...
C'est la journée mondiale du Baiser. Des articles foisonnent dans les journaux, sur le net... à ce sujet.
Record de durée (58 heures), origine du mot (basium), nombre de bactéries échangées (+50 millions), bienfaits (diminue le cortisol, augment l'ocytocine)... Tout ce qui peut vous intéresser sur ce sujet se trouve à portée de clic.
Mais rien ne vaut la pratique, n'est-ce pas ? Alors...
Si nous avons l'habitude de nous faire baiser, qu'attendons-nous pour baiser les autres ?
Entraînée par ma merveilleuse amie artiste peintre, j'ai assisté à un spectacle pluridisciplinaire, axé sur de la musique contemporaine, répétitive et minimaliste, en jonction avec de nouvelles technologies, des jeux vidéos projetés sur de grands écrans transparents...
Un spectacle étrange, une expérience contemplative, une rencontre artistique autant qu'humaine.
Le spectateur expérimente les notions de dédoublement, d'éloignement, d'errance, d'altérité, d'être aux choses.
Le tout dans un no mans'land qui n'est pas sans rappeler le décor dans lequel évoluait "Le Prisonnier".
Dans un mystérieux village, est retenu le numéro 6, ancien agent secret démissionnaire. C'est la collectivité qui, dans cette société totalitaire, remplit tous les besoins des individus qui y résident, mais point d'échappatoire possible, et point de liberté.
La fonction de n'importe quel art est d'être en avance sur son temps, de proclamer tout haut les signes de ce qui n'est pas encore perceptible, mais est cependant déjà présent. Une phrase du Prisonnier qui pourrait s'appliquer à ce spectacle !
Une ville dans la ville, c'est ainsi que j'aurais envie de qualifier ce lieu, aux rues perpendiculaires, où règne une atmosphère étrange, où j'ai déambulé avec une sensation d'étouffement. Des bâtiments datant de la seconde moitié du XIXe siècle ont été construits sur une butte, d'après les plans de l'architecte Pignon. Alentour s'étendait un domaine avec sa ferme et ses communs. Une anecdote amusante : en mars 1962, il est demandé par délibération que les deux vaches achetées fournissent un minimum de 18 litres par jour …
A l'intérieur de cette "maison des insensés (ou "cité des fadas", en clin d'oeil à Le Corbusier !), un théâtre, lieu d'art contemporain / centre d'art.
Une fresque, étrange elle aussi, décore le mur. J'y retournerai avec un véritable appareil photos pour saisir une par une ces figures modelées par les patients. Captées ici avec un simple smartphone, elles ne rendent pas toute leur puissance.
Je serais étonnée que cette histoire soit véridique, mais en tout cas, chapeau à l'auteur de cette lettre ! Jugez plutôt.
Ceci est la traduction de la réponse que le ministre canadien de la Défense a adressée à une bonne âme féminine qui se plaignait à lui du sort réservé aux "pauvres combattants" afghans, prisonniers dans les centres de détention en Afghanistan.
National Defence Headquarters
Major Gen George R. Pearkes Bldg,
15 NT 101 Colonel By Drive
Ottawa , ON K1A 0K2
Canada
Chère Madame,
Merci pour votre récente lettre exprimant votre profonde préoccupation concernant le sort des terroristes d'Al Qaida capturés par les forces canadiennes, transférés ensuite au gouvernement Afghan et à présent détenus par leurs officiels dans les centres nationaux de regroupement des prisonniers en Afghanistan.
Notre administration prend ce sujet très au sérieux et votre message est reçu avec considération à Ottawa.
Vous serez heureuse d'apprendre, grâce au souci de citoyens comme vous, que nous créons un nouveau département au sein de la Défense nationale, qui sera nommé P.C.A.R.T. , soit Programme des Canadiens qui Assument la Responsabilité pour des Tueurs.
En accord avec les lignes directrices de ce nouveau programme, nous avons décidé de faire venir au Canada un terroriste et de le placer sous votre responsabilité et votre surveillance personnelle.
Votre détenu particulier a été sélectionné et sera convoyé sous escorte armée jusqu'à votre domicile de Toronto dès lundi prochain.
Ali Mohammed Ahmed bin Mahmud (vous pouvez l'appeler simplement Ahmed) sera pris en charge selon les normes que vous avez personnellement exigées dans votre lettre de réclamation.
Il sera vraisemblablement nécessaire que vous fassiez appel à des assistants.
Nous mènerons des inspections hebdomadaires afin de nous assurer qu'Ahmed bénéficie des soins et de toutes les attentions que vous recommandez avec autant de fermeté dans votre lettre.
Malgré le fait qu'Ahmed soit un sociopathe extrêmement violent, nous espérons que votre sensibilité et ce que vous décrivez comme son très léger problème comportemental vous aidera à surmonter ses troubles du caractère.
Vous avez peut-être raison quand vous décrivez ces problèmes comme de simples différences culturelles.
Nous comprenons que vous avez l'intention de lui fournir conseils et éducation à domicile.
Votre terroriste adopté est redoutablement efficace dans les disciplines de close-combat et peut mettre fin à une vie avec des objets simples, tels que un crayon ou un coupe-ongle.
Nous vous conseillons de ne pas lui demander de faire une démonstration lors d'une prochaine séance de votre groupe de yoga. Il est également expert en explosifs et peut en fabriquer à partir de produits ménagers.
Peut-être vaut-il mieux que vous les gardiez donc sous clef, à moins que vous considériez(selon l'opinion que vous exprimiez) que cela risque de l'offenser.
Ahmed ne souhaitera pas entretenir de relations avec vous ou vos filles (excepté sexuellement), dans la mesure où il considère que les femmes sont une espèce de marchandise sous-humaine.
C'est un sujet particulièrement sensible pour lui et il est connu pour manifester des réactions violentes envers les femmes qui ne se soumettent pas aux critères d'habillement qu'il recommandera comme plus appropriées.
Je suis persuadé qu'avec le temps, vous en viendrez à apprécier l'anonymat qu'offre la burkha.
Rappelez-vous que cela fait partie du bon respect des croyances religieuses, ainsi que vous l'écriviez dans votre lettre.
Merci encore pour votre souci. Nous apprécions vraiment que des concitoyens comme vous nous indiquent comment bien faire notre travail et nous occuper de nos congénères.
Prenez bien soin d'Ahmed et souvenez-vous que nous vous observons.
Bonne chance et que Dieu vous bénisse.
Cordialement,
Gordon O'Connor
Ministre de la Défense Nationale du Canada.
Un psy me rétorquerait que je ferais mieux de consulter un membre (!) du corps médical, de soigner sérieusement mes problèmes de libido, que je souffre de névrose hystérique, et quoi d'autre encore ! Bref, il me conseillerait de m'abrutir de médocs - antidépresseurs + anxiolytiques - plutôt que de donner dans le vice ! Les meufs, toutes des bitches !
C'est pourquoi je lui réponds que l'on pourrait peut-être envisager la question du traitement de différentes manières :
1. je m'allonge sur le divan (pour le confort, cela va de soi),
2. il me prescrit des médocs (je les prendrai au cas où...)
3. je lui taille une pipe et, comme cela est conseillé, j'avale puisque le sperme est bon pour la santé.
Je devrais être rapidement en pleine forme, là, non ?
J'ajoute qu'on n'est pas une salope parce qu'on veut faire une fellation à un mec qu'on aime. Il faut de l'amour, de la tendresse, de la compréhension, de l'écoute, il faut faire preuve de douceur et de passion en alternance pour en tirer tous les bénéfices. Certains y voient un rapport de soumission... la femme soumise ou l'homme soumis ? Je vous pose la question... J'ai bien une petite idée. Quand il s'agit évidemment de partenaires consentants ; je ne parle pas de DSK...
Mais dans tout ça, il faut avoir conscience qu'il y a un hic : il se pourrait que la patiente hystérique effectue un transfert sur le thérapeute. Que voulez-vous, ce sont les risques du métier !
J'évite sciemment de poster une vidéo sur ce sujet spinescent, j'ai pitié de ceux d'entre vous qui, seuls pour le week-end, seraient contraints de se masturber en la visionnant. Quoique, puisqu'il est dit que la masturbation réduit le risque de cancer de la prostate, je vous rendrais service !
Le sperme est un antidépresseur naturel. Sachez-le, Mesdames ! Alors, ne faites plus la fine bouche !
Vous avez les blues, vous êtes déprimée. Faites plaisir à votre compagnon, ça vous aidera à combattre la dépression! C’est ce qu’avance une étude conjointe de la State University de New York et l’Université de Liverpool en Angleterre.
D’après le Daily Star, la recherche révèle aussi que ne pas utiliser de condom est bon pour la santé mentale et aussi pour la santé physique. Des tests d’ITSS sont bien sûr requis entre partenaires avant de cesser de se protéger.
Les scientifiques ont examiné la vie sexuelle de 293 étudiantes, l’interaction du sperme sur la chimie de leur humeur et leur ont demandé de remplir anonymement le questionnaire "Inventaire de la dépression de Beck".
Le résultat de la recherche montre que les femmes qui n’utilisent jamais de condom ont significativement moins de symptômes dépressifs que celles qui se protègent, toujours selon le Daily Star.
Les femmes qui ont davantage de partenaires sexuels mais qui utilisent des préservatifs sont aussi déprimées que celles qui n’ont pas de sexe du tout. Les chercheurs pensent donc que le sperme rend plus heureux que le sexe.
La semence des hommes serait donc un antidépresseur naturel qui joue sur la chimie du cerveau de façon positive, rend plus affectueux et induit le sommeil de la gent féminine.
D’autres études ont également fait état qu’être en contact avec le sperme augmente la concentration et les habilités cognitives. C’est un pensez-y bien!
Merci à TVA Nouvelles pour ses bons conseils !
La Passion selon saint Jean (Passio secundum Johannem), BWV 245, est une passion selon Johann Sebastian Bach (Jean-Sébastien Bach). Elle a été composée durant la première année où Bach était devenu cantor de l'église Saint-Thomas de Leipzig et jouée dans le même lieu pour la première fois le Vendredi saint 1724, soit le 7 avril.
Cette œuvre relate et commente la Passion du Christ d'après l'évangile de Jean. Elle constitue, avec la Passion selon saint Matthieu, de Bach également, l'apogée d'une très ancienne tradition remontant au Moyen-Âge consistant à chanter la passion du Christ pendant la semaine sainte. Il s'agit d'une des plus riches et plus grandioses œuvres de ce genre, et une des œuvres majeures de Bach. Son exécution dure environ 2 heures.
Cette passion est constituée d'une alternance de récitatifs et de choeurs relatant la passion, dans laquelle viennent s'insérer des ariosos, des aria et des chorals venant apporter des commentaires ou des réflexions théologiques aux événements. Deux chœurs libres monumentaux encadrent l’œuvre, qui est divisée en deux parties principales, entre lesquelles pouvait prendre place un sermon.
Les quatre Evangiles racontent la Passion du Christ, mais on ne connaît que deux mises en musique de cet épisode par Jean-Sébastien Bach : celle de saint Jean et celle de saint Matthieu. Des versions des passions selon saint Marc et saint Luc ont été partiellement retrouvées ; leur reconstitution a été tentée sans réel aboutissement : des parties entières de ces deux œuvres ont disparu (beaucoup d'œuvres de Bach ont été éparpillées après sa mort, ses compositions étant passées de mode) [Wikipédia]
Pour mes amis amoureux de Bach qui ne seront pas présents pour ce concert dans la cathédrale Saint-Sauveur :
"Il y a des gens avec qui l'on passe une grande partie de sa vie et qui ne vous apportent rien. Qui ne vous éclairent pas, ne vous nourrissent pas, ne vous donnent pas d'élan. Encore heureux quand ils ne vous détruisent pas à petit feu en se suspendant à vos basques et en vous suçant le sang.
Et puis...
Il y a ceux que l'on croise, que l'on connaît à peine, qui vous disent un mot, une phrase, vous accordent une minute, une demi-heure, et changent le cours de votre vie. Vous n'attendiez rien d'eux, vous les connaissiez à peine, vous vous êtes rendu léger, légère, au rendez-vous, et pourtant, quand vous les quittez, ces gens étonnants, vous découvrez qu'ils ont ouvert une porte en vous, déclenché un parachute, initié ce merveilleux mouvement qu'est le désir, mouvement qui va vous emporter bien au-delà de vous-même et vous étonner. Vous ne serez plus jamais vermicelle, vous danserez sur le trottoir en faisant des étincelles et vos bras toucheront le ciel..."
[Katherine Pancol]
Quand vous avez la chance de rencontrer un tel être dans votre vie, vous savez que, quoiqu'il arrive, vous ne l'oublierez pas. Qu'il ait traversé votre vie comme un éclair, qu'il se soit posé quelques instants à vos côtés avant de reprendre son chemin solitaire, il vous a marqué(e) à tout jamais de son empreinte. Il vous a changé(e), amélioré(e), instruit(e), éclairé(e)... et, si le hasard vous fait à nouveau croiser sa route, votre coeur chante et vous n'avez qu'une envie : lui dire merci !
"Notre grand et glorieux chef-d'oeuvre, c'est vivre à propos."
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