Quand j'n'aurai plus le temps
De trouver tout l'temps du courage
Quand j'aurai mis vingt ans
A voir que tout était mirage
Je tire ma révérence
Ma révérence
Quand mon fils sera grand
Qu'il n'aura plus besoin de moi
Quand les gens qui m'aimaient
Seront emportés loin de moi
Je leur tire ma révérence
Ma révérence
Et ma vie, endormie, doucement
Et mon coeur sera froid
Il ne saura même plus s'affoler
Il ne deviendra
Qu'une pauvre horloge à réparer
Il n'aura plus de flamme
Il n'aura plus de flamme
Il n'y aura plus de femmes
Et mes amis fidèles
Auront disparu un à un
Trouvant que j'étais belle
Que j'aurais bien fait mon chemin
Alors j'aurai honte de mes mains
J'aurai honte de mes mains
Quand j'n'aurai plus le temps
De trouver tout l'temps du courage
Quand j'aurai mis vingt ans.
A voir que tout était mirage
Alors j'entends au fond de moi
Une petite voix qui sourde et gronde
Que je suis seule au monde.
Oufti ! Tabernacle !
Quel enthousiasme ! Quel optimisme ! Quelle pêche !
Mais de tes amis fidèles un n'a point disparu (même si internautique et lointain) ...
REPONSE : je suis fatiguée, si fatiguée, tu ne peux t'imaginer à quel point. Mais que cela reste entre nous !
Rédigé par : Achille Talon | lundi 01 août 2016 à 18:11
Certes, mais parmi d'autres savoureuses expressions québécoises:
"Lâche pas la patate !"
Que je traduirais de mon A.O.F., "Lâche pas la patate douce !" ou "Lâche pas l'igname !"
REPONSE : "Purée de manioc !"
Rédigé par : Dominique | mardi 02 août 2016 à 00:43
Intéressant rapprochement entre Georges Brassens et Jacques Brel dans leurs œuvres :
l'un cita Manon Lescaut et l'autre Des Grieux ...
(mais sauf omission de ma part, aucun ne cite les deux)
Je ramasse les copies ce mardi 9 août en soirée pour les titres des chansons afférentes (Maréchale, nous voilà ...) !
Rédigé par : Abbé Prévost | mardi 09 août 2016 à 02:47